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Embarquement pour Pondichery
« Si j’avais eu un don, si j’avais été musicienne, sais-tu ce que j’aurais écrit ? J’aurais capturé les notes de la mousson : ses crépitements, son feulement, le tempo du clapotis et le silence qui rôde autour. Je suis trop vieille, et je ne serais jamais douée, mais toi, tu pourras peut-être inventé cette musique. » Dès les premiers mots, l’Inde se dessine ; on déambule sur les trottoirs de Pondichery, les clameurs de la rue s’élèvent, les rickshaws colorés défilent sous nos yeux dans une danse joyeuse et bruyante, les odeurs d’épices montent dans l’air gorgé d’humidité, puis le jasmin libère son doux parfum envoutant. Un mariage se prépare. Deux êtres qui s’aiment passionnément vont unir leur destin. Leurs yeux brillent autant que leurs habits d’apparat.
on n'aurait pas dû
Frustrée
J’ai d’abord cru un livre de nouvelles, tant je ne trouvais aucune relation entre les premiers chapitres. Page après page, surtout en fin de livre, ce qui est normal me direz-vous, le voile se lève, les cercles s’entrecroisent, les sous-entendus deviennent vérité. J’ai été sensible à l’écriture de Fanny Saintenoy, mais… et oui, il y a un mais ! Je n’ai pas été touchée par cette histoire, je suis restée sur les trottoirs des rues de Pondichéry et de Paris. Je n’ai aucunement été sensible aux destins des personnages de ce roman. |
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