Le dernier psaume
James Lilliefors

Mosaïc
juillet 2016
392 p.  18,90 €
 
 
 
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Un matin d’hiver, le pasteur Luke Bowers découvre à l’ouverture de son église, une jeune femme installée aux premiers rangs, sans vie en position de prière. Dans ses mains jointes sont gravées des chiffres. L’affaire est confiée à Amy Hunter, un jeune sergent de la section criminelle formé au FBI. Le shérif écarté de cette enquête va mener sa propre investigation et désigne rapidement le coupable idéal en prétextant une affaire liée à la drogue. Amy pense de son côté avoir affaire à un serial-killer. Quand d’autres corps sont retrouvés dans d’autres Etats, mise en scène et chiffres à proximité des victimes, nul doute pour le sergent Hunter. Mais l’hostilité et les coups bas du shérif vont sérieusement compliquer le déroulement de l’enquête. Amy va trouver un allié précieux et inattendu en la personne du pasteur. J’ai bien aimé la couverture, le pitch en quatrième de couv’ et ça démarre bien. Mais en cours de lecture, le roman va prendre un tout autre tournant qui supplante l’intérêt et l’idée de départ, pourtant originale. Pour moi et c’est dommage, bien qu’il soit bien écrit et sans longueur, le roman manque de vrais rebondissements, de suspens, de pep’s. L’enquête suit son petit bonhomme de chemin, tranquillement, sans réelle surprise. Ambiance glaciale avec un côté mystique pour un roman sympathique mais malheureusement, à la lecture convenue.

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