« Quand il ne reste que le gris c’est l’heure de se dire bonne nuit«
Pour son premier album au Seuil Jeunesse Mayama Itoïz témoigne d’une belle originalité : le format est plutôt grand, les pages en papier épais et les illustrations légèrement feutrées; l’écriture en grandes lettres cursives apporte un sentiment de proximité et on s’identifie sans peine à ce petit rituel du coucher en forme de comptine. Un petit garçon imagine colorier le visage de sa maman pour en faire divers animaux, elle joue le jeu avec bienveillance. C’est doux et tendre et ça me plaît beaucoup !