Les tribulations d’un jeune allemand enrôlé dans l’armée française pendant la guerre de 40.
Il doit y avoir un souffle épique dans cette histoire;et ce souffle m’a vaincue.
Recommandé par ma libraire préférée, Gallimard, la Blanche :me voilà heureuse.
Au bout de 100 p, je ne savais pas trop où j’étais, et au bout de 200 , complètement larguée.J’ai terminé cette lecture en diagonale, ce qui ne m’est pas arrivé depuis des lustres.
Onirique, certes, les célèbres sœurs rêveuses (elles parlaient en dormant) du couvent d’Ourthières, pays de Bray , servent de fil rouge à cette histoire échevelée .
Romanesque aussi, des pseudo cousines plus ou moins folles,un vieux couvent, des soldats russes.
Et bien sur, la guerre, en fond de paysage.
Tout cela donne j’en suis certaine un beau roman , mais malheureusement je suis passée complètement à côté.