La rédaction l'a lu
coup de coeur
Cet ouvrage est le coup de coeur des librairies Payot (Suisse) dans le quoi lire ? numéro 24
Les internautes l'ont lu
on n'aurait pas dû
Nul
Incroyablement mauvais ! le style est pauvre, les personnages d’une caricature effrayante !
coup de coeur
Alors qu’il s’apprête à partir en retraite, l’inspecteur Jesse Rosenberg est accosté par une jeune journaliste, Stéphanie Mailer, qui lui dit qu’il n’a pas réellement élucidé la plus grosse affaire criminelle de sa carrière, que tout était là devant lui mais qu’il n’a rien vu. L’affaire en question s’est déroulée en 1994 alors qu’il était tout jeune inspecteur de police : le maire et toute sa famille ont été assassinés chez eux, ainsi qu’une joggeuse qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Remué, Jesse décide de contacter Stéphanie Mailer mais celle-ci a disparu. Cette disparition pousse Jesse à réouvrir l’enquête… Je n’aurai qu’un mot pour ce roman : ADDICTIF !!! Dès qu’on l’a commencé, on ne peut plus le lâcher !
Vacances de Pâques 2013 : j’avais loué pour une semaine un gîte dans les Vosges. Au programme : randonnées et visites. J’emporte dans mes valises La Vérité sur l’affaire Harry Quebert. Quelle erreur ! Impossible de décoller de mon bouquin ! Je n’ai qu’une hâte : rentrer pour lire. Rien d’autre ne m’intéresse… (déjà qu’en temps normal, les randos…) Maintenant, je suis prudente : quand je pars découvrir une région, je veille à n’emporter que des livres pas trop prenants, autrement, autant que je reste chez moi ! Retrouvez Lucia Lilas sur son blog
on n'aurait pas dû
Grosse déception
Ayant de bons souvenirs des précédents romans de l’auteur, c’est en toute confiance et surtout sans envie de chercher la petite bête que je me suis engouffrée dans celui ci.
coup de coeur
A savourer sans modération !
Roman gigogne sympathique qui fait passer d’agréables moments de lecture, à se perdre dans les méandres d’une enquête compliquée qui ressemble à un jeu de piste. Certains lecteurs sont déçus de ne pas y trouver davantage de force ou de rigueur, mais franchement, que demande-t-on à une fiction sinon de nous distraire ? Alors, ne boudez pas votre plaisir et même si vous avez, à certains passages, estimé que 633 pages, c’est trop, savourez le dernier Dicker ! Il est bon … |
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