Comment un jeune à haut potentiel se trouve entraîner à faire carrière au sein d’une banque d’affaires anglosaxonne et à y inventer un produit financier spéculant sur les catastrophes naturelles tout en y anéantissant sa vie. Voilà ce que raconte ce livre très bien écrit, facile à lire et qui puise dans le réel.
L’auteur, très jeune, démonte les mécanismes des ressources humaines de ces grands groupes dont il se moque du vocabulaire et s’indigne de la déshumanisation des personnages, traitée ici de façon clinique.
Une de mes meilleures lectures de l’été, dans la ligne de « Affaires Étrangères » de Jean-Marc Roberts, mais écrit 30 ans plus tard…..