Ce roman à l’humour typiquement anglais peut-être diversement apprécié, « Les Chênes verts » » maison de retraite soit disant quelque peu huppée ressemble plus à une maison de fous qu’à la possibilité d’un paisible repos.
Si le fond explore la misère de vieillir(où que ce soit), la forme est fortement perturbante, être dans la tête des résidents pas nets quand même donne une lecture déstabilisante, quant aux encadrants , le récit de leurs turpitudes donne parfois la nausée.
La photo de couverture me semblait impertinente à souhait, et elle l’est vraiment, on sent que la révolte gronde,mais trop , pour moi, c’est trop, c’est mon humble avis