L'Orphelinat
Emmanuelle Friedmann

Calmann-Lévy
janvier 2015
272 p.  18,90 €
 
 
 
 Les internautes l'ont lu

Une histoire simple et attachante

C’est une collection aux couvertures sympa, ambiance sépia ou noire&blanche qui s’appelle « France de toujours et d’aujourd’hui ». Une bonne pioche quand je projette de renouveler le stock de lecture de la tantine Andrée qui, si elle ne s’ennuie pas toujours à cent sous de l’heure dans sa maison de retraite, a grand plaisir à lire de tout. Parfois, je les parcours avant de les lui remettre, pas toujours.
Je partage ce qu’elle m’a résumé de « L’Orphelinat », avec un réel enthousiasme. « C’était joliment troussé cette petite histoire. J’ai bien aimé le climat autour de St Malo, ces descriptions d’après la guerre. Les personnages sont de gentils gamins, sans façon. Evidemment, il y a des méchants un peu dans la caricature, mais au moins, c’est pas le curé ! Ca m’aurait embêté sinon. Là, j’avais le sentiment d’être dans un téléfilm d’après-midi, avec une intrigue simple à comprendre, une jolie fin très positive. J’ai prêté le livre à Madame Dornaise. Parce qu’elle aime bien les livres avec des petites gens, des ouvriers, des travailleurs de peine. Là, je lui ai dit qu’il y en avait, même si le livre tourne autour du petit Olivier qui veut retrouver sa mère. Il fait tout pour fuguer de l’orphelinat quand il a la certitude qu’elle n’est pas morte, en compagnie des autres gamins de cet orphelinat (qui n’ont pas tous perdu leurs parents -mais la situation après la première guerre mondiale était drôlement difficile, je me souviens que papy en parlait-). Il lui arrive de drôles d’aventures à Olivier, il en fait des découvertes ! C’est vraiment plaisant à lire le soir, parce qu’il n’y a pas grand chose à la télévision ! Dis, si tu vois un autre texte de la même romancière, tu me le prendras ? ».
Allez, la prochaine fois, ce sera celui sur la Dynastie des Chevallier (il parait qu’il se lit avec une tablette de chocolat à portée de main…).

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