Nous sommes en mai 68, le gaz lacrymogène envahit les rues de Lyon , là où Y.Bichet situe son roman.
C’est une époque lointaine, mais la fumée et le tumulte ont un air de « revenez-y » ces derniers samedis.
J’ai suivi sans trop de précipitation les revoltes de jeunes gens , 3 en particulier.Leur besoin d’air, d’amours heureuses, brèves et qu’ils voudraient faciles , voire….
Ce besoin de refaire le monde, l’énergie qu’il faut déployer pour cela, cette belle utopie qui un jour vous claque dans les doigts, 68 quoi.
Lecture agréable certes, mais rien de nouveau.