Le quart militaire, un couteau, une voiture volée, un pistolet reviennent souvent dans les pages de ce livre peu commun. J’avoue ne pas avoir accroché. L’entretien avec Katia Schneller a éclairé la partie roman. Fiction, documentaire j’ai hésité entre les deux. La violence, un argot inconnu, une écriture orale, des actions auxquelles je ne peux adhérer font que je n’ai pas pu entrer dans l’univers de Jean-Charles Hue. Les photos quelques fois trop sombres, d’autres surex, même si ce sont des photos extraites de ses films…. Non, vraiment, ce livre n’est pas fait pour moi. Je n’en ai pas compris la poésie.