Comme je l’attendais celui-ci et combien je nai pas écouté Augustin Trapenard m’alerter en me disant : il exagère, ça doit quand même être vachement bien. Pensez : NYCity, ville adorée, dans les années 70, donc les années sex drog and rock n’roll et donc avant Juliani le grand nettoyeur, 1000 pages à dévorer, j’en piaffais. Bon, ben comme dirait ma grand mère, y’a pas de quoi en faire un fromage. C’est long, trèèèèès long, mal écrit ou mal traduit, (à mon avis un peu les deux mon général), décousu et désordonné (mince, c’est qui lui déjà ?) même en lisant en continu 100 pages /100 pages. Il y a plusieurs histoires dans l’histoire qui devraient se rejoindre mais qui ne font en fait que s’emmêler pour mieux nous perdre, c’est ballot quand même. Quelle déception ! j’avoue carrément ne pas avoir tout compris à cette histoire d’espionnage familial et comme c’est dommage. ça partait plutôt pas mal, mais ce bouquin a quand même tous les travers d’un premier roman. C’est pardonnable bien sûr, mais sur 1000 pages, c’est trop dur.
