Ce thriller est diabolique, mené de main de maître par un primo romancier surdoué, qui a réussi à me captiver dès les premières pages par l’histoire d’Alicia, artiste peintre, retrouvée hagarde auprès du corps sans vie de son mari.
Tout porte à croire qu’elle l’ait assassiné, mais est-ce si simple ?
C’est Théo Faber, son psychothérapeute, qui va nous aider à comprendre cette femme murée dans son silence.
Le journal d’Alicia nous éclaire sur les relations au sein du couple.
Que dire de plus ? Pas grand-chose, pour ne pas risquer de trop en dire.
Il y a des lustres que je n’ai pas été scotché par la fin d’un roman.
Je n’ai rien vu venir et je défie quiconque de trouver le fin mot de cette histoire avant que l’auteur nous l’assène comme un coup de massue, nous laissant KO.
Du grand art !