C’est peut-être parce que Donna Leon nous promène depuis longtemps dans sa chère Venise, et toujours avec plaisir certes, que ce roman ci m’a paru quelque peu insipide. Le milieu des livres (bibliothèques, bibliophiles) m’a attiré , mais je n’y ai pas trouvé mon bonheur : rien appris sur le commerce ou trafic des livres anciens, c’est du déjà lu, plus rien sur Venise, des personnages archi connus; bref, ce n’était pas le moment .