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coup de coeur
L’horreur ordinaire dans un quartier pavillonnaire
« A la maison, il y avait quatre chambres. La mienne, celle de mon petit frère Gilles, celle de mes parents et celle des cadavres ». Plus loin, j’apprends qu’il s’agit d’animaux empaillés tués par le père chasseur. Et puis, il y a la hyène qui effraie la petite fille de dix ans.
nuit blanche
Epideo
Dans ce coup d’essai-coup de maître, on pourrait dire que la gamine dont il est question, celle qui nous raconte sa sortie de l’enfance, gamine dont on ne connaît pas le prénom je crois, cette gamine se construit sur un oedipe inversé, un « epideo » donc à cause de son père repoussoir, incapable de lui donner autre chose que la colère par laquelle il s’est laissé dominer. Mais de cet epideo, elle réussit à fabriquer de l’amour pour son petit frère Gilles, qu’elle aime « d’une tendresse de mère,… la forme d’amour la plus pure qui puisse exister. Un amour qui n’attend rien en retour. Un amour indestructible. »
coup de coeur
nuit blanche
Survivre
A moitié réveillé ou à moitié endormi, il est certain que commencer la lecture de ce roman vous remet sur pied illico ! |
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