Frédéric Beigbeder, est un formidable communiquant. Il n’y avait que lui pour penser à une émoticône, en guise de titre de livre.
Il est passé de dandy, noceur, à père de famille à Biarrizt mais son héros récurrent, Octave Parango, lui, n’a pas fini ses frasques….
Sur fond de crise des gilets jaunes, Parango entame son baroud d’honneur, d’ultime nuit blanche qui le conduira à son licenciement radiophonique.
C’est souvent drôle, cynique, désespéré. France Public et ses protagonistes, dont on reconnaitra aisément l’identité, en prenne tous pour leur grade. Critique d’une époque où il est de bon ton, d’avoir le mot juste, le mot drôle en toute circonstance, au bon moment mais avec des limites….mais lesquelles vraiment ?
Reverrons nous Octave Parrango ? Nous l’espérons. En tous les cas, nous souhaitons une belle vie à son auteur au pays basque !!